PATRICK GALIN (guitares, chœurs)
Bercé dès l'adolescence par les disques des Rolling Stones de son frère (qu'il écoutait en cachette, "T'y touches pas, sinon t'ar ta gueule"), il se tourne vers la guitare pour imiter son idole de toujours Keith Richards. A force d'user ses doigts sur des pelles injouables, il arrive à en tirer quelques accords et devient le meilleur guitariste du monde (surtout devant le miroir de l'armoire de sa chambre).
Et puis l'écoute s'élargit : Deep Purple, Alice Cooper, Eric Clapton, David Bowie, etc.
Jusqu'au Noël de ses 15 ans où il reçoit l'album Echoes de Pink Floyd. Extase musicale !
Mais bon ! Musique trop élaborée pour lui, plus à écouter qu'à jouer, il poursuit son apprentissage du rock et du blues et découvre en concert un guitariste hors pair : Rory Gallagher. Et là, c'est LA claque !
- "Maman, je veux être star du rock'n'roll !"
- "Ouais, be quand t'auras un métier, mon gars !"
Voilà comment on tue une vocation dans l’œuf ! Il décidera donc de rester un artiste méconnu. Et jouera dans différents groupes bordelais pour parfaire sa consommation de bières plus que son apprentissage de la guitare.
Il tentera (souvent en vain) de dispenser son (maigre) savoir guitaristique en école de musique, où il croise Patrice Adam. Celui-ci ne trouvant pas mieux, lui propose d'assurer la deuxième guitare dans son groupe récemment formé.
"Et vous faites quoi comme musique ?"
"On reprend The Wall de Pink Floyd"
"Boudiou con !" se dit Patrick en lui-même "et pourquoi pas ?".
Aussitôt dit, aussitôt fait ! Le voilà guitariste dans e-Koz. Après plusieurs mouvements de personnel (dont certains tumultueux), la tempête se calme et le fier vaisseau porcin peut s'envoler pour dispenser la bonne parole aux foules enthousiastes !!!
Bercé dès l'adolescence par les disques des Rolling Stones de son frère (qu'il écoutait en cachette, "T'y touches pas, sinon t'ar ta gueule"), il se tourne vers la guitare pour imiter son idole de toujours Keith Richards. A force d'user ses doigts sur des pelles injouables, il arrive à en tirer quelques accords et devient le meilleur guitariste du monde (surtout devant le miroir de l'armoire de sa chambre).
Et puis l'écoute s'élargit : Deep Purple, Alice Cooper, Eric Clapton, David Bowie, etc.
Jusqu'au Noël de ses 15 ans où il reçoit l'album Echoes de Pink Floyd. Extase musicale !
Mais bon ! Musique trop élaborée pour lui, plus à écouter qu'à jouer, il poursuit son apprentissage du rock et du blues et découvre en concert un guitariste hors pair : Rory Gallagher. Et là, c'est LA claque !
- "Maman, je veux être star du rock'n'roll !"
- "Ouais, be quand t'auras un métier, mon gars !"
Voilà comment on tue une vocation dans l’œuf ! Il décidera donc de rester un artiste méconnu. Et jouera dans différents groupes bordelais pour parfaire sa consommation de bières plus que son apprentissage de la guitare.
Il tentera (souvent en vain) de dispenser son (maigre) savoir guitaristique en école de musique, où il croise Patrice Adam. Celui-ci ne trouvant pas mieux, lui propose d'assurer la deuxième guitare dans son groupe récemment formé.
"Et vous faites quoi comme musique ?"
"On reprend The Wall de Pink Floyd"
"Boudiou con !" se dit Patrick en lui-même "et pourquoi pas ?".
Aussitôt dit, aussitôt fait ! Le voilà guitariste dans e-Koz. Après plusieurs mouvements de personnel (dont certains tumultueux), la tempête se calme et le fier vaisseau porcin peut s'envoler pour dispenser la bonne parole aux foules enthousiastes !!!