In the Flesh? : Pink déclare qu'en dépit des apparences, les choses sont bien différentes « derrière ces yeux froids », et invite le spectateur à « se tailler un chemin à travers ce déguisement ». Le son d'une bombe larguée par un avion explique la mort du père de Pink, soldat de la Seconde Guerre mondiale. Il s'agit dans le texte avant tout d'une dissociation entre l'apparence et la personnalité réelle.
The Thin Ice : on évoque les premières années de la vie de Pink, trop jeune encore pour réaliser ce qui est arrivé à son père. La « fine glace » est une métaphore de la fragile innocence qui dure tant qu'on ne peut comprendre le monde autour de nous. Elle évoque également les séquelles psychologiques de la guerre sur les soldats, mais aussi sur la génération suivante, les enfants qui doivent porter le poids de cette guerre. Cela représente également la barrière fragile entre la schizophrénie et la santé mentale.
Another Brick in the Wall, Part I : l'innocence de Pink disparaît lorsqu'il apprend ce qui est arrivé à son père. Atterré, il commence à construire son mur, dont la mort de son père ne sera « qu'une brique ».
The Happiest Days of Our Lives : Pink est envoyé à l'école, où les professeurs, stricts et parfois violents, veulent le faire rentrer dans le moule de la société. Ils blessent les enfants physiquement et mentalement. La deuxième partie de la chanson explique que les professeurs eux-mêmes sont brutalisés par leurs femmes. L'enchaînement est clair : les femmes brutalisent leurs maris, qui brutalisent les enfants. Ceux-ci grandissent et deviennent violents à leur tour.
Another Brick in the Wall, Part II : après avoir été brimé par son professeur, Pink rêve que les élèves de son école entament une révolte contre leurs enseignants ; cela l'isole encore plus.
Mother : Pink dialogue avec sa mère, excessivement protectrice envers son fils. Elle l'aide ainsi à construire son mur, en essayant de le protéger du monde extérieur. Elle insiste pour que Pink reste à ses côtés même en grandissant, et ne peut supporter l'idée qu'il puisse tomber amoureux plus tard.
Goodbye Blue Sky : Pink devient dépressif, obligé de grandir dans un monde d'après-guerre où seule sa mère prend soin de lui. Il est également triste de ne pas avoir eu l'enfance qu'il aurait dû avoir, son père étant mort avant même sa naissance. La chanson évoque aussi le Blitz, la série de bombardements de Londres et d'autres villes anglaises au début de la Seconde Guerre mondiale.
Empty Spaces : Pink est maintenant adulte et marié, mais sa femme et lui ont du mal à communiquer à cause de son mur à moitié fini. Pink se demande comment l'achever et « remplir les espaces vides ». Cette chanson parle également de la vanité des groupes de rock.
Young Lust : Pink est devenu une « rock star », toujours en tournée. Il commence à inviter des groupies dans sa chambre entre les concerts, et n’a pas vu sa femme depuis des mois. La fin de la chanson est un dialogue entre Pink et une opératrice téléphonique ; c'est à ce moment-là qu'il réalise que sa femme a un amant depuis un moment, et son désordre mental s'accélère.
One of My Turns : Pink invite une groupie dans sa chambre d'hôtel après avoir découvert l'adultère de sa femme. Lorsque la groupie essaie d'attirer son attention, il explose soudain de colère et détruit sa chambre et sa guitare.
Don't Leave Me Now : Pink essaie de se faire à l'infidélité de sa femme, sans succès. Il la blâme pour l'avoir fait souffrir .
Another Brick in the Wall, Part III : rendu furieux par l'adultère de sa femme, Pink décide d'achever son mur. Il conclut qu'il n'a plus besoin de rien, considérant toutes les personnes qu'il a connues comme « de simples briques dans le mur ».
Goodbye Cruel World : Pink achève son mur, et marque la reconnaissance de son isolement envers la société.
Hey You : Pink réalise l'erreur qu'il a commise en se retirant complètement de la société. Il tente de reprendre contact avec le monde extérieur, mais son mur bloque tous ses appels. Il réalise qu'il n'y a pas d'issue au mur. La métaphore selon laquelle « les vers mangent son cerveau » décrit l'état mental de Pink qui se détériore.
Is There Anybody Out There? : la folie de Pink s'aggrave et il se demande s'il y a « quelqu'un dehors », de l'autre côté du mur.
Nobody Home : Pink décrit sa vie derrière son mur. Il n'a personne à qui parler, et tout ce qu'il a sont ses objets personnels, dont il fait la description. Personne ne lui répond au téléphone, même pas sa femme.
Vera : la chanson est une référence à Vera Lynn, une chanteuse anglaise connue durant la Seconde Guerre mondiale pour se produire devant les soldats britanniques. La référence est ironique, en sachant que Pink (pas plus que Waters) n'a rencontré son père, mort à la guerre. La phrase « Vera, qu'es-tu devenue ? » suggère que Vera Lynn elle-même, contrairement à ce qu'elle avait promis (« nous nous reverrons »), aurait disparu. Elle peut aussi être interprétée comme disant que Pink a perdu espoir.
Comfortably Numb : Le manager de Pink, venant le chercher pour un concert, lui lance au travers de la porte de sa chambre d'hôtel « Faut y aller ! » (« Time to go! »). Pink, se sentant complètement isolé de la société, et dans un état second, reste cloîtré dans sa chambre pour ne pas jouer. Un docteur est envoyé dans la chambre pour lui faire une injection qui lui donnera suffisamment d'énergie pour assurer le concert.
The Show Must Go On : Pink s'apprête à monter sur scène, sous l’effet des médicaments injectés pour éviter d'annuler le concert. Les paroles ont surtout pour thème la cupidité des promoteurs peu scrupuleux et des managers. Le « spectacle » peut également être une métaphore pour la vie. Pink débat sur ce qu'il doit faire, maintenant qu'il a construit son mur : il réalise qu'une vie isolée est morne. Il décide alors que « le spectacle doit continuer ».
In the Flesh : Pink, drogué par les médicaments hallucine et se prend pour un dictateur fasciste devant son public, traquant les Noirs, les Juifs …
Run Like Hell : Pink, dans son délire, devient le chef du parti fasciste des « marteaux croisés » qui se retrouve devant une foule dans un auditorium. Il lance ses fidèles à l'assaut de la ville pour piller les maisons et commerces.
Waiting for the Worms : Pink a perdu tout espoir, et laisse les vers contrôler ses pensées. Dans son hallucination, il est encore un dictateur fasciste qui répand la haine, avec la promesse que ceux qui le suivent reverront « l'Angleterre souveraine » et renverront leurs « cousins de couleur » dans leur pays.
Stop : Pink en a assez de son rôle de dictateur, et son hallucination s'achève. Doutant de sa culpabilité, il s'intente à lui-même un procès mental.
The Trial : Pink fait intervenir un procureur grotesque, flagorneur et terrifiant, qui l'accuse d'avoir fait preuve « de sentiments de nature presque humaine ». Le procureur appelle à la barre le professeur de Pink, qui l'accuse copieusement. Vient ensuite l'épouse de Pink, qui accable ce dernier, puis qui se transforme en mère de Pink, surprotectrice, étouffant son fils. Le juge apparaît alors, et rend sa sentence en déclarant Pink coupable et en le condamnant à abattre son mur.
Outside the Wall : cette chanson confirme que le « mur » a été démoli, et parle de l'isolement mental en général et de la façon dont les autres tentent de le vaincre, souvent sans succès. Elle parle également du fait que ce sont les enfants qui héritent nos désastres, et risquent de les reproduire.
source : wikipedia
The Thin Ice : on évoque les premières années de la vie de Pink, trop jeune encore pour réaliser ce qui est arrivé à son père. La « fine glace » est une métaphore de la fragile innocence qui dure tant qu'on ne peut comprendre le monde autour de nous. Elle évoque également les séquelles psychologiques de la guerre sur les soldats, mais aussi sur la génération suivante, les enfants qui doivent porter le poids de cette guerre. Cela représente également la barrière fragile entre la schizophrénie et la santé mentale.
Another Brick in the Wall, Part I : l'innocence de Pink disparaît lorsqu'il apprend ce qui est arrivé à son père. Atterré, il commence à construire son mur, dont la mort de son père ne sera « qu'une brique ».
The Happiest Days of Our Lives : Pink est envoyé à l'école, où les professeurs, stricts et parfois violents, veulent le faire rentrer dans le moule de la société. Ils blessent les enfants physiquement et mentalement. La deuxième partie de la chanson explique que les professeurs eux-mêmes sont brutalisés par leurs femmes. L'enchaînement est clair : les femmes brutalisent leurs maris, qui brutalisent les enfants. Ceux-ci grandissent et deviennent violents à leur tour.
Another Brick in the Wall, Part II : après avoir été brimé par son professeur, Pink rêve que les élèves de son école entament une révolte contre leurs enseignants ; cela l'isole encore plus.
Mother : Pink dialogue avec sa mère, excessivement protectrice envers son fils. Elle l'aide ainsi à construire son mur, en essayant de le protéger du monde extérieur. Elle insiste pour que Pink reste à ses côtés même en grandissant, et ne peut supporter l'idée qu'il puisse tomber amoureux plus tard.
Goodbye Blue Sky : Pink devient dépressif, obligé de grandir dans un monde d'après-guerre où seule sa mère prend soin de lui. Il est également triste de ne pas avoir eu l'enfance qu'il aurait dû avoir, son père étant mort avant même sa naissance. La chanson évoque aussi le Blitz, la série de bombardements de Londres et d'autres villes anglaises au début de la Seconde Guerre mondiale.
Empty Spaces : Pink est maintenant adulte et marié, mais sa femme et lui ont du mal à communiquer à cause de son mur à moitié fini. Pink se demande comment l'achever et « remplir les espaces vides ». Cette chanson parle également de la vanité des groupes de rock.
Young Lust : Pink est devenu une « rock star », toujours en tournée. Il commence à inviter des groupies dans sa chambre entre les concerts, et n’a pas vu sa femme depuis des mois. La fin de la chanson est un dialogue entre Pink et une opératrice téléphonique ; c'est à ce moment-là qu'il réalise que sa femme a un amant depuis un moment, et son désordre mental s'accélère.
One of My Turns : Pink invite une groupie dans sa chambre d'hôtel après avoir découvert l'adultère de sa femme. Lorsque la groupie essaie d'attirer son attention, il explose soudain de colère et détruit sa chambre et sa guitare.
Don't Leave Me Now : Pink essaie de se faire à l'infidélité de sa femme, sans succès. Il la blâme pour l'avoir fait souffrir .
Another Brick in the Wall, Part III : rendu furieux par l'adultère de sa femme, Pink décide d'achever son mur. Il conclut qu'il n'a plus besoin de rien, considérant toutes les personnes qu'il a connues comme « de simples briques dans le mur ».
Goodbye Cruel World : Pink achève son mur, et marque la reconnaissance de son isolement envers la société.
Hey You : Pink réalise l'erreur qu'il a commise en se retirant complètement de la société. Il tente de reprendre contact avec le monde extérieur, mais son mur bloque tous ses appels. Il réalise qu'il n'y a pas d'issue au mur. La métaphore selon laquelle « les vers mangent son cerveau » décrit l'état mental de Pink qui se détériore.
Is There Anybody Out There? : la folie de Pink s'aggrave et il se demande s'il y a « quelqu'un dehors », de l'autre côté du mur.
Nobody Home : Pink décrit sa vie derrière son mur. Il n'a personne à qui parler, et tout ce qu'il a sont ses objets personnels, dont il fait la description. Personne ne lui répond au téléphone, même pas sa femme.
Vera : la chanson est une référence à Vera Lynn, une chanteuse anglaise connue durant la Seconde Guerre mondiale pour se produire devant les soldats britanniques. La référence est ironique, en sachant que Pink (pas plus que Waters) n'a rencontré son père, mort à la guerre. La phrase « Vera, qu'es-tu devenue ? » suggère que Vera Lynn elle-même, contrairement à ce qu'elle avait promis (« nous nous reverrons »), aurait disparu. Elle peut aussi être interprétée comme disant que Pink a perdu espoir.
Comfortably Numb : Le manager de Pink, venant le chercher pour un concert, lui lance au travers de la porte de sa chambre d'hôtel « Faut y aller ! » (« Time to go! »). Pink, se sentant complètement isolé de la société, et dans un état second, reste cloîtré dans sa chambre pour ne pas jouer. Un docteur est envoyé dans la chambre pour lui faire une injection qui lui donnera suffisamment d'énergie pour assurer le concert.
The Show Must Go On : Pink s'apprête à monter sur scène, sous l’effet des médicaments injectés pour éviter d'annuler le concert. Les paroles ont surtout pour thème la cupidité des promoteurs peu scrupuleux et des managers. Le « spectacle » peut également être une métaphore pour la vie. Pink débat sur ce qu'il doit faire, maintenant qu'il a construit son mur : il réalise qu'une vie isolée est morne. Il décide alors que « le spectacle doit continuer ».
In the Flesh : Pink, drogué par les médicaments hallucine et se prend pour un dictateur fasciste devant son public, traquant les Noirs, les Juifs …
Run Like Hell : Pink, dans son délire, devient le chef du parti fasciste des « marteaux croisés » qui se retrouve devant une foule dans un auditorium. Il lance ses fidèles à l'assaut de la ville pour piller les maisons et commerces.
Waiting for the Worms : Pink a perdu tout espoir, et laisse les vers contrôler ses pensées. Dans son hallucination, il est encore un dictateur fasciste qui répand la haine, avec la promesse que ceux qui le suivent reverront « l'Angleterre souveraine » et renverront leurs « cousins de couleur » dans leur pays.
Stop : Pink en a assez de son rôle de dictateur, et son hallucination s'achève. Doutant de sa culpabilité, il s'intente à lui-même un procès mental.
The Trial : Pink fait intervenir un procureur grotesque, flagorneur et terrifiant, qui l'accuse d'avoir fait preuve « de sentiments de nature presque humaine ». Le procureur appelle à la barre le professeur de Pink, qui l'accuse copieusement. Vient ensuite l'épouse de Pink, qui accable ce dernier, puis qui se transforme en mère de Pink, surprotectrice, étouffant son fils. Le juge apparaît alors, et rend sa sentence en déclarant Pink coupable et en le condamnant à abattre son mur.
Outside the Wall : cette chanson confirme que le « mur » a été démoli, et parle de l'isolement mental en général et de la façon dont les autres tentent de le vaincre, souvent sans succès. Elle parle également du fait que ce sont les enfants qui héritent nos désastres, et risquent de les reproduire.
source : wikipedia